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L’Alliance

Vidéo des ateliers - Assises internationales de l’édition indépendante (2019-2021) - Abidjan, mai 2019

Les premiers ateliers des Assises ont eu lieu en Côte d’Ivoire en mai 2019 dans le cadre du Salon international du livre d’Abidjan, et ont réuni 40 éditeurs francophones, ainsi que des représentants des réseaux lusophone et arabophone de l’Alliance.

Voir la vidéo ici !

La littérature jeunesse et les typographies étaient au cœur de ces ateliers. La cartographie des politiques publiques du livre en Afrique subsaharienne et Madagascar (projet phare de l’Alliance depuis les dernières Assises 2012-2014) a par ailleurs été présentée à cette occasion. Les prochains ateliers auront lieu au Chili en septembre 2019, réunissant essentiellement des éditeurs d’Amérique latine et d’Espagne – la cartographie des politiques publiques du livre en Amérique latine y sera présentée.

Le programme complet des Assises 2019-2021 sera disponible d’ici quelques mois !
Pour toute question, contactez l’équipe de l’Alliance (equipe@alliance-editeurs.org).

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Assises de l’édition du salon du livre de Genève (Suisse), 1-3 mai 2019

Pour la 5e année consécutive, les assises de l’édition rassemblent les professionnels autour des enjeux auxquels fait face l’industrie et le marché du livre. En 2019, le thème « Le livre par-delà les frontières » sera décliné et examiné lors de trois journées.
« Dans l’Afrique des possibles » ouvrira les feux le mercredi 1er mai. Ces secondes assises du livre en Afrique traiteront de sujets ayant une résonance particulière pour le secteur de l’édition sur le continent et au-delà : nouvelles censures, édition jeunesse, parcours de femmes éditrices et projets innovants. L’équipe de l’Alliance présentera les premiers éléments de l’étude sur la liberté d’éditer qu’elle réalise actuellement. La présentation sera suivie d’une table ronde qui donnera la parole au Pen Club, à Amnesty International et l’éditrice malienne Kadiatou Konaré (Cauris Livres).

Dans le prolongement de cette journée, l’Alliance organisera le vendredi 3 mai un atelier sur la « Diffusion-distribution entre pays francophones du Sud et du Nord : quelles alternatives ? », l’occasion de faire un tour d’horizon des stratégies privilégiées par les éditeurs, des expériences réussies, des alternatives à explorer.

Toutes les informations pratiques et les programmes détaillés sont à découvrir ici !

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Tehran Book Fair Uncensored, Europe et Amérique du Nord, avril-mai 2019

Pour sa 4e édition, le Tehran Book Fair Uncensored se déplacera dans les pays suivants : Royaume-Uni, France, Allemagne, Autriche, Danemark, Suède, Pays Bas, Belgique, États-Unis, Canada...

Chaque année, depuis 4 ans, les éditeurs à l’extérieur de l’Iran organisent en même temps que le Salon du livre de Téhéran, un « salon du livre de Téhéran, non-censuré » dans toute l’Europe, aux États-Unis et Canada.
La plupart des éditeurs, auteurs, traducteurs de langue persane se réunissent dans les différentes villes afin de rencontrer leurs lecteurs et pouvoir échanger à propos du monde des livres et de la littérature persane non censurée.
C’est une occasion unique pour connaître la littérature et les écrits qui échappent aux mains des censeurs. Une littérature libre. Des voix étouffées qui s’expriment.

Toutes les informations à retrouver ici : www.uncensoredbook.com

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« Déplacer les limites », rencontre entre éditeurs indépendants à Madrid (Espagne), 4-5 avril 2019

Deux jours de débats, réflexions et ateliers qui réuniront entre autres LOM Ediciones (Chili), En toutes lettres (Maroc), Metis Publishers (Turquie), Critique and Humanism (Bulgarie), Masarykova Univerzita (République tchèque), éditions d’en bas (Suisse), Sophie Noël (universitaire, Paris 13)… ces journées sont organisées par les éditions La Oveja Roja (membre de l’Alliance), en partenariat avec la librairie Contrabandos.
Au programme des débats : écosystème du livre, autres formes de productions, communauté de lecteurs…
Le programme est à retrouver ici !

Ces journées seront suivies de la deuxième édition de la Foire du livre politique (6-7 avril 2019, Madrid).
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Indie Book Day, 30 mars 2019 !

Le samedi 30 mars 2019, c’est l’Indie Book Day !

Les éditeurs et libraires indépendants convient les lecteurs à fêter l’Indie Book Day en se rendant dans leur librairie indépendante pour acheter un livre édité par un éditeur indépendant. Les lecteurs sont ensuite invités à publier une photo du livre sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram…), accompagnée du hashtag #indiebookday.

L’Indie Book Day célèbre ainsi la créativité, la diversité et la vitalité de l’édition indépendante et sensibilise les lecteurs au rôle essentiel joué par la librairie indépendante en faveur de la bibliodiversité.

Indie Book Day : www.indiebookday.de

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Programme 2019 & rétrospective 2018 !

À lire ici, le programme d’actions 2019 de l’Alliance et un bilan des activités menées en 2018.

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Laurence HUGUES

Suite à des études à l’IUT Métiers du Livre d’Aix en Provence, Laurence HUGUES a suivi une licence de Lettres modernes à Trois-Rivières au Québec, puis un Master Commercialisation des produits de l’édition à Paris 13-Villetaneuse. Après plusieurs séjours professionnels en Afrique de l’Ouest, elle rejoint l’équipe de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants en 2007. En juillet 2009, Étienne GALLIAND, fondateur et jusqu’alors directeur de l’Alliance lui transmet la direction de l’association.

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Bibliodiversidad. Un manifiesto para la edición independiente

Auteur(s) : Susan HAWTHORNE
Pays de parution : Argentine

En un mundo globalizado, las megacorporaciones editoriales solo se preocupan por los números, por lo semejante, por seguir fórmulas ya probadas en sus últimos éxitos de ventas. Se espera que cada libro pague su propia producción junto con las externalidades del proceso de publicación, tales como la infraestructura y el sueldo de los ceo. Bajo esa óptica, los libros que se demoran más en “despegar”, pero que poseen una larga vida y son capaces de cambiar las normas sociales, tienen menos probabilidades de publicarse.

Los editores independientes apuestan por una forma diferente de hacer las cosas. Buscan un compromiso distinto con la sociedad y se preocupan por reflejar el lugar y el espíritu de sus comunidades. “Bibliodiversidad” es un término creado por editores independientes en los años noventa para darle un nombre a esta forma diferente de pensar la edición. En este manifiesto, Susan Hawthorne nos ofrece una crítica mordaz a la industria editorial global, que contrapone a una propuesta visionaria para la publicación “orgánica”. En un contexto de predominio de las grandes corporaciones, Bibliodiversidad marca las diferencias entre los conceptos de libertad de expresión y de “discurso justo” y pone en perspectiva las promesas y los desafíos de la transición al mundo digital.

ISBN : 978-950-889-322-2 - 15 x 21 cm - 120 páginas

Bibliodiversidad, en francés
Bibliodiversidad, en árabe
Bibliodiversidad, en aléman

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Comité international des éditeurs indépendants (CIEI), Paris, 6-8 octobre 2018

La rencontre du CIEI est un moment « spécial », où sont discutés les activités des réseaux de l’Alliance, les projets à venir, les points stratégiques ainsi que la gouvernance de l’association. Il s’agit d’une rencontre annuelle essentielle dans la vie de l’Alliance, souvent déterminante en termes d’orientations et de choix.
Cette année, de nouvelles et nouveaux coordinatrices, coordinateurs, vice-coordinatrices et vice-coordinateurs intègrent le CIEI : nous proposons ainsi une journée « découverte » du CIEI, permettant aux nouveaux venus d’en comprendre le fonctionnement et le rôle. Cette rencontre sera par ailleurs l’occasion d’étudier les décisions prises lors des précédents CIEI et d’analyser leurs impacts sur la gouvernance actuelle de l’Alliance et dans l’optique des futures Assises de l’Alliance (2019-2021). Enfin, une session de la rencontre sera dédiée aux droits culturels, en présence notamment de Lionel Maurel.

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Foire du livre de Francfort (Allemagne), 10-14 octobre 2018

À voir !
HotList et WomenList

En partenariat avec le Kurt Wolff Stiftung (collectif d’éditeurs indépendants allemands) et la Foire du livre de Francfort, l’Alliance propose deux sélections thématiques à découvrir sur le stand Reading Island for Independent Publishers (Hall 4.1 / D36) !

  • HotList : la vitalité de l’édition indépendante latino-américaine à travers plus de 30 ouvrages de tous les genres publiés en Argentine, au Brésil, en Équateur, au Chili, en Colombie, au Mexique, au Venezuela ! Voir le site de la HotList ici !
  • WomenList : plus de 30 romans, nouvelles, essais et bandes dessinées sur le féminisme, les luttes pour les droits des femmes, leur émancipation à travers le monde — des titres d’éditeurs indépendants de tous les continents. Les titres de la WomenList sont également consultables en ligne ici.

À écouter !

  • “African Children’s book publishing” : Christine Warugaba, Furaha Publishers (Rwanda), Sophie Batiskaf, Dodo Vole (Madagascar) et Corinne Fleury, Atelier des Nomades (Ile Maurice) / mercredi 10 octobre, 10h00-11h00 / Reading Island for Independent Publishers (Hall 4.1 / D36)

Pour cette édition 2018, l’Alliance est partenaire de Lettres d’Afrique, du BIEF, du Kurt Wolff Stiftung et de la Foire du livre de Francfort ; et remercie chaleureusement les organisations et personnes qui ont collaboré à la conception de notre programme (African Books Collective, Afrilivres, PEN International...).

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Observatoire de la bibliodiversité

Enquêtes, témoignages et sensibilisation sur les répercussions du don de livres à Madagascar, 2002-2015

Depuis plusieurs années, l’Association des éditeurs de Madagascar (AEdiM) et particulièrement l’une de ses membres, Marie Michèle Razafintsalama (éditions Jeunes malgaches), mène un travail d’enquêtes de terrain sur les dons de livres à Madagascar.

Différentes actions de sensibilisation ont été menées par cette éditrice auprès d’associations, organisations et professionnels localement mais aussi en France, qui portent leurs fruits progressivement, par exemple :

Lire aussi l’interview de Marie Michèle Razafintsalama publiée par le magazine en ligne ActuaLitté en novembre 2016 : « Madagascar : “À force de dons, les gens pensent que le livre ne s’achète pas.” »

Écouter ici l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI, du 22 mai 2011 : L’appel de l’éditrice Marie-Michèle Razafintsalama.

Lire ci-contre les résultats des enquêtes sur le don de livres menées à Madagascar entre 2003 et 2012.

Ecouter l’interview de Marie Michèle Razafinstalama dans l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI (22 mai 2011)

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La BD au Maroc : en attente de lecteurs

À première vue, le Maroc peut passer pour un pays où la bande dessinée est reine : le pays a abrité ou abrite plusieurs festivals de bande dessinée (Tétouan, Fès, Kénitra, Casablanca) et compte avec l’Institut National des beaux-arts de Tétouan, la seule filière BD de l’Afrique francophone. Malheureusement, la production de BD au niveau local ou dans la diaspora reste faible et la BD reste un genre mineur au Maroc, même si on constate un certain frémissement depuis quelques années. Retour sur une histoire vieille de plus de 50 ans.

Lire l’intégralité de l’article « La BD au Maroc : en attente des lecteurs », écrit par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures, le 23 mars 2017.

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Une opération de dons de livres en Côte d’Ivoire : quels impacts pour la bibliodiversité ?, juin 2017

Dans le cadre d’une convention signée en juin 2017 entre le ministère de la Culture de Côte d’Ivoire et le Syndicat national de l’Édition française (SNE), « les éditeurs français, via la société Electre, s’engagent à faire un don chaque année, de 5 000 livres de littérature générale, de jeunesse et de sciences humaines, destinés à enrichir et développer les fonds des bibliothèques nationales de Côte d’Ivoire. À travers ce texte, les parties partagent une volonté commune de développement de la Francophonie ainsi qu’une meilleure connaissance des livres de chaque pays ».

L’Association internationale des libraires francophones (AILF) et l’Alliance partagent dans un communiqué commun leurs réflexions et préoccupations et rappellent les possibles répercussions des dons de livres sur la chaîne du livre d’un pays.

Extrait du communiqué, 15 juin 2017 :
Nous invitons à se référer à plusieurs ressources et réflexions formulées par des professionnels du livre, des universitaires et des collectifs, recensées ici.

L’ensemble de ces témoignages, analyses et articles mettent en évidence certaines questions, fondamentales à prendre en compte pour toute opération de dons de livres, dont nous en rappelons les principales ici :
=> Prendre en compte les besoins des lecteurs pour que les ouvrages envoyés soient en adéquation avec leurs attentes, leurs langues, leurs envies : types d’ouvrages répondant à des besoins spécifiques identifiés
=> Travailler main dans la main avec les professionnels locaux :

  • Associer et travailler étroitement avec les bibliothécaires : les livres envoyés viennent-ils en complément de l’offre de la bibliothèque dans un souci de bibliodiversité ? Permettent-ils de constituer un nouveau rayon thématique ? Des animations sont-elles prévues pour que les lecteurs les découvrent ?
  • Associer les libraires et éditeurs locaux afin de respecter la chaîne du livre locale : comment faire en sorte que les dons ne viennent pas fragiliser et court-circuiter l’économie locale ?

=> Prévoir, en complément des opérations de dons de livres, des actions de soutien pérennes pour la filière locale.

Nous sommes attachés à inscrire ces recommandations en référence à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO (2005).

Le développement du secteur culturel d’un pays – et en particulier celui du livre – est une des conditions d’émergence de la création ; garantit la vitalité d’un vivier de créateurs (auteurs, traducteurs, illustrateurs…) et de professionnels (bibliothécaires, éditeurs, libraires, diffuseurs…) ; génère un dynamisme économique. La Côte d’Ivoire en est une illustration exemplaire depuis plusieurs années. Il serait ainsi préoccupant que des opérations de dons viennent fragiliser l’écosystème local ; il serait regrettable que ces opérations ne prennent pas en compte le travail et les partenariats mis en place par les collectifs professionnels d’éditeurs et de libraires, au niveau national et international, depuis plusieurs années (coéditions francophones, travail sur les langues africaines, ateliers et formations…).

Nous rappelons par ailleurs qu’il existe d’autres manières de penser le don de livres :
=> S’appuyer sur un principe et des mécanismes de réciprocité : en contrepartie de 5 000 livres donnés, un achat de livres ivoiriens pourrait être réalisé pour les bibliothèques françaises – afin justement de renforcer « une meilleure connaissance des livres de chaque pays » ;
=> Monétiser le don dans une logique de redistribution : les 5 000 livres ne sont pas donnés mais vendus en France, et l’argent récolté est reversé à l’Association des éditeurs ivoiriens pour le prochain Salon International du livre d’Abidjan (cf. bibliobraderies organisées par Bibliothèques Sans Frontières) ;
=> Privilégier une logique de partenariats équilibrés entre professionnels : l’argent prévu pour le transport des 5 000 livres de France vers la Côte d’Ivoire n’est pas utilisé pour une opération de dons mais pour des rencontres entre éditeurs ivoiriens et français dans l’optique de cessions de droits ; pour des rencontres entre libraires ivoiriens et français dans l’optique de partenariats…

Il s’agit ainsi de trouver collectivement des systèmes de solidarité et de réciprocité, en adéquation avec les réalités du terrain. Ce sont ces formes de coopération et de liens qui assurent sur le moyen terme les bases de partenariats de confiance, la structuration pérenne et viable des marchés – garantissant également la conscientisation, l’éveil et l’émancipation des futures générations de lecteurs et citoyens.

Lire l’intégralité du Communiqué ci-contre.

Voir les articles publiés par ActuaLitté :

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (3/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent. Christophe Cassiau-Haurie documente en trois épisodes, l’histoire de la bande dessinée depuis les années 1960. En voici le troisième et dernier volet sur la décennie 2010.

Lire ici l’article publié par Africultures le 12 février 2019.

Retrouvez ici l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Cote d’Ivoire (2/3)

Après avoir retracé l’histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire des années 1960 aux années 1990, Christophe Cassiau-Haurie nous plonge dans les années 2000.

La crise politique et militaire qui affecte le pays à compter de 2002 met un coup de frein aux activités des auteurs de BD (en particulier la publication d’albums) pendant près d’une décennie. Seules quelques productions locales sont visibles sur le marché national, beaucoup d’entre elles au tout début de la décennie.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent.
Les éditions CEDA sont nées en 1961. Elles ont été créées par l’Etat Ivoirien en partenariat avec les éditions françaises Hatier, Didier, Fouchier et Mame. Si l’Etat n’était actionnaire qu’à 25% à l’origine, il est passé à 51% en 1974. En 1972, sont créés à Dakar les NEA (Nouvelles Editions Africaines) avec une direction générale à Dakar et deux antennes à Lomé et Abidjan. Dix ans plus tard, les NEA Abidjan tentent une autonomie qui se solde par un dépôt de bilan en 1989.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 15 mars 2017.

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Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires

Ces recommandations et propositions sont extraites des 80 recommandations en faveur de la bibliodiversité, formulées lors des Assises internationales de l’édition indépendante (2012-2014).

Elles ont été formulées à partir de l’expérience et des pratiques au sein de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants : elles concernent prioritairement les partenariats éditoriaux entre éditeurs des pays du Sud dans la mesure où les soutiens à l’édition dans ces pays sont souvent faibles, voire inexistants, et entre éditeurs du Sud et du Nord dans la mesure où ces échanges sont encore peu fréquents.

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Modèles de contrats pour des partenariats éditoriaux

L’Alliance tient à votre disposition des modèles de contrat type pour les partenariats éditoriaux suivants :

Pour toute demande de contrat type ou pour un conseil sur la mise en place d’un partenariat éditorial, n’hésitez pas à contacter l’équipe de l’Alliance.

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Raphaël Thierry / partie 2, 2015

Deuxième partie : Raphaël Thierry : Le don de livre, mais à quel prix, et en échange de quoi ? (un panorama du don de livre en Afrique francophone)

À venir dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Retrouvez aussi l’article sur le site EditAfrica !

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Hans Zell / partie 1, 2015

Première partie : Hans M. Zell : le don de livre en Afrique de langue anglaise (en anglais)

À venir dans dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Extrait de l’avant-propos de l’éditrice :
« C’est une très grande joie que de publier ce numéro d’African Research & Documentation (ARD). La Scolma est très reconnaissante à l’égard d’Hans Zell et de Raphaël Thierry pour avoir choisi de publier dans nos pages la totalité de leur étude consacrée aux programmes de don de livre en Afrique.
Comme l’affirment les auteurs, « le temps est venu pour une réévaluation » et nous espérons en cela que le débat qui suivra trouvera sa place dans les pages d’ARD, de même que sur internet. Je voudrai ici solliciter réactions et retours sur cette étude importante aussi bien que provocatrice en certains points. Les retours des bibliothèques destinataires seront particulièrement les bienvenus. »
Terry Barringer, éditrice, African Research & Documentation

Retrouvez aussi l’article sur EditAfrica !

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